GAIA, la plus grande association d'adhérents à la cause animale en Belgique, compte plus de 50 000 membres
Son prochain défi : Le renforcement des politiques locales de bien-être animal
L'organisation de défense des animaux GAIA a franchi les 50 000 membres. Ce cap symbolique renforce la position de GAIA en tant que plus grande association d'adhérents à la cause animale en Belgique. « Les objectifs prioritaires de GAIA sont aujourd'hui partagés par la grande majorité des citoyens (variant de + 70 % à + 90 % de taux d'approbation), ce que bon nombre de sondages représentatifs effectués par des bureaux spécialisés ont confirmé à plusieurs reprises », se réjouit Michel Vandenbosch, le président de GAIA. Prochain défi en date pour cette association fondée en 1992 : la mise en place ou le renforcement de politiques locales de bien-être animal par les nouveaux collèges échevinaux après les élections communales du 14 octobre prochain.
Soutien populaire
« Comptant environ autant d'adhérents francophones que flamands, ce large soutien populaire fait qu’aujourd’hui, plus que jamais, GAIA porte haut et fort sa devise d’être la voix des sans voix que sont les animaux sans défense, y compris au niveau politique. Un soutien d’autant plus important que les défis en matière de bien-être animal à accomplir dans les prochaines années restent de taille », ajoute Michel Vandenbosch.
Des avancées sans précédent
Parmi les victoires et avancées obtenues pendant la présente législature figurent l’interdiction wallonne et flamande de l’abattage sans étourdissement, la stérilisation obligatoire des chats ainsi que l’interdiction de l’élevage d’animaux à fourrure sur tout le territoire belge. Autres résultats récents : la décision du Gouvernement wallon d’interdire la détention de poules pondeuses en cages, l'interdiction prochaine des tests sur les chiens, chats et primates dans les laboratoires de la région Bruxelles-Capitale, celle des poneys de foire en région Bruxelloise et en Wallonie, et celle du gavage à Bruxelles et en Flandre. Parmi d’autres victoires préalablement obtenues, citons enfin l'interdiction des animaux sauvages dans les cirques (2013) ainsi que les interdictions européennes du commerce de produits de phoques (2009) et du commerce des produits cosmétiques testés sur les animaux (2013), sans oublier la nomination d'un ministre du bien-être animal – compétence entièrement séparée de l'Agriculture – à part entière dans chaque région du pays.
La Belgique de plus en plus soucieuse du bien-être animal
« Le Royaume de Belgique n’est pas devenu un paradis pour les animaux, loin de là. Mais il faut reconnaître que notre combat de plus d'un quart de siècle a fait de notre pays un endroit résolument moins cruel envers les animaux et davantage soucieux de leur bien-être. La thématique est devenue incontournable pour le monde politique », commente Michel Vandenbosch. Il n'empêche qu'il reste du pain sur la planche. Fort de ses plus de 50 000 membres, GAIA se tourne désormais vers l'avenir et les prochains défis à relever pour la cause animale.
Note : GAIA ne bénéficie du soutien financier d'aucune autorité et son fonctionnement dépend entièrement des cotisations de ses membres, des dons et des legs pour ses campagnes pour les animaux ainsi que de l’action de ses 200 bénévoles.
Voir aussi : www.gaia.be
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